Poème à l’os
(Début du XXIème s)
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Cet os en provenance d’un
pot au feu, participait d’un projet plus vaste en relation directe avec la
vieillesse et la mort des Parents. J’ai renoncé à ce projet et me suis contentée
d’en témoigner en écrivant dessus l’un de mes poèmes Je suis fatiguée comme la mort / De m’être chaque soir naissant /
Tranché la gorge / Pour laisser mon âme respirer / Et en moi / La mémoire des
miens / Continuer à œuvrer. Un autre os participant
du même projet a été transformé en marque page et donné à Alin Anseeuw qui
m’a publié en 1997 Poèmes
de la Petite France <cliquez ici> et qui organisait une
exposition itinéraire sur ce thème. Le projet en fin de compte s’est soldé
par un intérêt nouveau dans ma vie pour les objets en os ou en ivoire,
matière qui me révulsait auparavant. |
Diamètre :
ç Œuvre précédente Œuvre
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Mise à jour : janvier 2008